Climat : « La brûlure est la conséquence de l’emprise incontrôlée des entreprises sur nos vies »

Après l’ère de l’« anthropocène », du « capitalocène » et du « technocène », le philosophe et économiste Guillaume Quiquerez propose, dans une tribune au « Monde », celle du « corporocène », afin de mieux prendre en compte la responsabilité des grandes entreprises dotées d’une personnalité morale dans la croissance des émissions de gaz à effet de serre.
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